La population étudiante, peu importe l’âge et le programme d’études, est reconnue comme étant plus à risque de vivre des problèmes de santé mentale (Shankland et al., 2022). La période de transition entre l’adolescence et l’âge adulte y contribue, puisqu’elle implique une multitude de changements auxquels il faut s’adapter. Les étudiants postsecondaires changent leur mode de vie, adoptent de nouveaux rôles sociaux, doivent faire leurs propres choix par rapport à leurs études et à leur futur. Ils sont au cœur de leur construction identitaire dans cette période qui leur demande d’assumer de nombreuses responsabilités, d’apprendre à se débrouiller par eux-mêmes au quotidien, de parfois changer d’école, de cercles d’amis et de ville. La vie amoureuse évolue pour certain.e.s, et nombreux.se.s sont ceux.celles qui doivent déménager pour aller vivre seul.e.s ou avec d’autres personnes que la famille pour la première fois. Bref, il s’agit d’un contexte de perte de repères, d’instabilité, voire d’insécurité et de stress. La santé mentale des étudiant.e.s postsecondaires est d’autant plus vulnérable s’ils doivent gérer des difficultés financières, des exigences académiques élevées ou des horaires chargés. Bien que toutes ces transitions et situations anxiogènes soient globalement inévitables, il est possible d’adopter des attitudes ou de mettre en place un environnement et des stratégies qui favorisent la santé mentale et la résilience aux obstacles. Cet article vise à favoriser le pouvoir d’agir des lecteur.trice.s sur différentes sphères de vie en les aidant à cibler et à remplacer des habitudes de vie nocives par des habitudes plus saines qui favoriseront leur bien-être psychologique et leur épanouissement (Shankland et al., 2022). Pour ce faire, il est essentiel d’entretenir une bonne hygiène de vie, que ce soit par de bonnes habitudes de sommeil, une alimentation saine et de l’activité physique régulière. Au-delà de ces trois piliers de la santé physique et mentale qui sont fortement mis de l’avant dans la société, il importe de se pencher sur huit autres habitudes de vie tout aussi importantes.
La vie sociale
La vie sociale est un facteur de protection puisqu’elle génère une multitude d’affects positifs, tels que le bonheur, le sentiment de sécurité, le sentiment d’accomplissement et la confiance en soi (Deis et al., 2025). Négliger cette sphère de vie peut créer un sentiment de solitude et atténuer le bien-être psychologique. Il a été démontré que le sentiment d’appartenance a un impact direct sur le bien-être ressenti (Shankland et al., 2022). Il est donc recommandé d’avoir des interactions sociales sur une base régulière (Deis et al., 2025). Cela est d’autant plus facile à implémenter lorsqu’une personne cohabite avec d’autres personnes, puisqu’elle est amenée à faire des activités avec elles ou en leur présence au quotidien. Ainsi, il est bénéfique de régulièrement participer à des sorties familiales, amicales ou de couple (Du Penhoat, 2016). Il est même possible d’intégrer un forum rassemblant des gens qui ont des centres d’intérêts communs, ou de se joindre à des groupes d’entraide avec des pairs (Tazi, 2023). Cela permet de se sentir bien entouré pour affronter les difficultés vécues et d’atténuer le stress (Tazi, 2023; Deis et al., 2025). Les relations interpersonnelles fournissent aussi l’occasion de s’engager dans des objectifs communs qui sont porteurs de sens, comme prévoir un projet de voyage ensemble (Deis et al., 2025).
Le plaisir
Lorsqu’on se sent surmené, il peut être facile d’oublier l’importance de s’accorder des moments de plaisir, et ce, sans culpabiliser. Que ce soit par des activités de loisirs ou par des activités renforçant les liens culturels, avoir du temps libre pour se faire plaisir génère une vaste gamme d’émotions positives, et le bien-être psychologique découle justement d’un ratio plus élevé d’émotions agréables que désagréables au quotidien (White et al., 2016; Shankland et al., 2022). Ces moments sont des occasions de détente, de socialisation et de construction identitaire qui aident à réduire le stress et à améliorer l’estime de soi (Tazi, 2023; White et al., 2016; Carbonneau et Duquette, 2018). Il importe donc de garder du temps dans son horaire pour des activités plaisantes comme écouter de la musique ou une série télévisée, lire, faire des activités artistiques, cuisiner, aller se promener dans un parc, faire les boutiques ou sortir dans un café (Tazi, 2023).
La stimulation intellectuelle
Les personnes qui ne pratiquent que rarement des activités qui entraînent une stimulation intellectuelle en voient leur mémoire et leur performance cognitive limitées (Dessaint, 2022). Il est donc important de choisir des activités intellectuelles diversifiées dont les niveaux de difficulté sont élevés, mais restent atteignables, afin de se poser des défis. Ces activités peuvent être de lire, écrire, apprendre une langue, apprendre à jouer d’un instrument de musique ou suivre des cours. Sur le plan cognitif, la stimulation intellectuelle renforce la performance des fonctions exécutives comme la concentration, le raisonnement, la planification et la mémoire. La maintenir sur une base régulière peut réduire le déclin cognitif jusqu’à 50%, réduire le déclin de la mémoire de travail jusqu’à 60%, rendre la vitesse de traitement de l’information 30% plus rapide, et peut améliorer l’orientation spatiale. Quant au bien-être psychologique, il est favorisé par une attitude de curiosité et d’intérêt à essayer de nouvelles choses (Shankland et al., 2022). Enfin, ces activités peuvent aussi générer du plaisir, permettre de développer de nouvelles compétences et être valorisantes (Tazi, 2023).
La pleine conscience
Il est bénéfique d’intégrer des pratiques de pleine conscience dans le quotidien puisqu’elles permettent de se détacher des pensées pessimistes et des émotions désagréables, ce qui diminue la rumination et atténue les effets du stress et de l’anxiété (Shankland et al., 2022). Elle implique de se centrer sur le moment présent pour observer, ressentir et accepter ses états internes. La défusion cognitive, soit le détachement rendu possible par la reconnaissance du caractère passager et subjectif de ces états internes, permet justement de prendre du recul et d’atténuer leurs impacts négatifs. La pleine conscience regroupe plusieurs actions simples à mettre en place, comme le yoga, des exercices de respiration, la méditation centrée sur les sensations corporelles et l’expérience interne, ou le fait de tenir un journal (Fortin-Vidah, 2021; Shankland et al., s. d.; Shankland et al., 2022; Lestage et Xu, 2016). Elle comprend également les pratiques méditatives informelles, qui consistent à « accorder une attention intentionnelle et sans jugement lors d’une activité quotidienne en cours telle que parler, serrer la main, écouter des sons, etc. » (Shankland et al., s. d.; Bonhomme, 2016). La pleine conscience renforce le bien-être psychologique par l’activation du cortex préfrontal gauche, une zone associée à la production d’affects positifs, et contribue à diminuer le taux de cortisol, soit l’hormone du stress (Shankland et al., s. d.; Bonhomme, 2016). Elle permet aussi de réduire les symptômes anxieux et dépressifs, d’augmenter la satisfaction de vie et de réduire les risques de troubles mentaux (Shankland et al., s. d.). La pratique régulière de la pleine conscience facilite également la concentration et la créativité, tout en réduisant la sensibilité aux distractions (Bonhomme, 2016; Shankland et al., s. d.). Elle réduit la tendance à la procrastination, soutient une meilleure gestion du temps, augmente la motivation dans les études et renforce le sentiment d’auto-efficacité (Shankland et al., 2022). Elle permet de prendre conscience de ses progrès, de célébrer ses succès et de renforcer l’estime de soi (Tazi, 2023). La pleine conscience agit aussi comme un facteur de protection très large. Elle favorise des habitudes alimentaires saines, un sommeil de qualité et une meilleure santé physique (Shankland et al., 2022). Elle renforce le système immunitaire grâce à une production plus élevée d’anticorps et aide à diminuer l’envie de fumer ou de consommer des substances, réduisant ainsi les mécanismes de coping problématiques (Bonhomme, 2016; Shankland et al., s. d.). Elle permet d’augmenter la résilience et la capacité d’adaptation face aux événements de vie difficiles, soutenant une meilleure qualité de vie (Bonhomme, 2016; Shankland et al., 2022).
La vie spirituelle
La vie spirituelle joue un rôle important dans le bien-être psychologique, notamment parce que le bien-être ressenti dépend en grande partie du respect de ses propres valeurs spirituelles (Orpana et al., 2016; Shankland et al., 2022). Elle peut prendre la forme de rites religieux, de prières, de temps partagé avec sa communauté religieuse, ou encore de lectures, de réflexions et de discussions portant sur la spiritualité (Berghmans, 2023). La vie spirituelle est un véritable facteur de protection de la santé mentale contre l’anxiété, puisqu’elle apporte de l’espoir, du réconfort et de la sérénité face aux événements et aux situations de vie difficiles comme la maladie et le deuil. Elle aide à trouver une signification aux expériences vécues et à son existence. La communauté religieuse, quant à elle, renforce le sentiment d’appartenance, de solidarité, ainsi que les comportements prosociaux et le désir de croissance personnelle. Se recentrer sur sa spiritualité aide à réduire les symptômes dépressifs, tout en soutenant l’autorégulation émotionnelle, la réinterprétation positive des événements, l’optimisme et l’amélioration de l’humeur. Les personnes qui accordent de la place à leur vie spirituelle éprouvent moins d’émotions désagréables comme l’inquiétude, le désespoir et la colère, et rapportent une meilleure qualité de vie (Berghmans, 2023).
Le rapport à la technologie
Il est important de surveiller son rapport à la technologie, car passer trop de temps devant un écran peut entraîner de la fatigue, de l’impatience, des difficultés interpersonnelles et divers problèmes de santé mentale (Janssen et al., 2011). Une utilisation excessive de la télévision, du cellulaire, de l’ordinateur ou des jeux vidéo limite aussi le temps accordé aux autres saines habitudes de vie comme l’activité physique, la vie sociale et le sommeil (Janssen et al., 2011; Deis et al., 2025). Cette mauvaise habitude est également corrélée à une alimentation malsaine, à la consommation de drogues et d’alcool, à la dépendance, à une détérioration de la santé physique et à l’obésité (Tremblay et al., 2010). Lorsqu’une personne devient cyberdépendante, c’est-à-dire qu’elle entretient un usage excessif et problématique des écrans, elle a tendance à s’isoler des autres, à mal gérer son temps et à négliger les autres sphères de sa vie. Elle est alors susceptible d’être touchée par des difficultés de concentration, des troubles du sommeil, des symptômes d’anxiété et de dépression, de l’anhédonie, voire des idées suicidaires (Dresp-Langley, 2015).
La consommation
La consommation de caféine, de boissons énergétiques, de tabac, d’alcool et de drogues est un autre type d’habitude à laquelle il faut faire attention en optant pour la modération (Fortin-Vidah, 2021; Janssen et al., 2011). Une consommation fréquente d’alcool, de tabac ou de cannabis est effectivement corrélée négativement au bien-être psychologique (Varin et al., 2024). Cela peut s’expliquer par la dépendance physiologique, sociale et psychologique, ainsi que par les sentiments d’impuissance et de honte qui en découlent, amplifiés par la stigmatisation (Deis et al., 2025). Au niveau physiologique, les personnes dépendantes doivent gérer leurs symptômes de manque, ou alors les répercussions d’un état altéré sur leurs différentes sphères de vie. Par ailleurs, la consommation est parfois utilisée comme mécanisme de coping inadapté dans le but de gérer le stress, les émotions négatives ou l’anxiété sociale. Cette situation peut mener à une dérégulation hédonique, soit la perte de la capacité à ressentir du plaisir dans les activités qui procuraient autrefois du plaisir. Cela suscite une quête de sensations physiques agréables pour compenser, entretenant ainsi la dépendance à long terme (Deis et al., 2025).
L’estime de soi
Il est bénéfique de développer l’estime de soi, puisque l’acceptation de soi tel qu’on est, avec ses qualités et ses défauts, favorise le bien-être psychologique et l’épanouissement (Shankland et al., 2022). Cela passe d’abord par l’adoption d’une attitude d’autocompassion, qui consiste à accepter ses fluctuations de motivation et de performance, ses défauts et ses échecs sans se culpabiliser, ce qui contribue à la diminution du taux de cortisol, l’hormone du stress (Shankland et al., 2022; Tazi, 2023; Bonhomme, 2016). Il s’agit également de trouver un équilibre entre faire preuve d’autonomie et savoir demander de l’aide lorsqu’on en a besoin (Shankland et al., 2022). Une autre méthode pour développer l’estime de soi consiste à pratiquer l’affirmation de soi en osant exprimer et défendre ses propres idées, opinions et valeurs (Shankland et al., 2022). Enfin, essayer de devenir une meilleure personne contribue à la valorisation de soi. Une telle démarche peut passer par des actes prosociaux et la contribution à la collectivité (Shankland et al., 2022). Cette implication communautaire inclut le bénévolat, la pair-aidance et la participation politique (Orpana et al., 2016). Une autre façon de favoriser sa croissance personnelle est de reconnaître son propre potentiel et se fixer des objectifs en accord avec ses valeurs, besoins et ambitions (Shankland et al., 2022). Pour se faire, la méthode SMART peut être utilisée, dont les lettres de l’acronyme font référence à des objectifs spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes et temporellement définis (Tazi, 2023). Les succès et le sentiment de fierté qui découlent de ces objectifs favorisent l’estime de soi et ses bienfaits.
Texte révisé par Alexandre Ferguson.
Références
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Image : ChiemSeherin. (2023, 16 août). Cairn, Tour de pierre, Équilibre [image en ligne]. Pixabay. https://pixabay.com/fr/photos/cairn-tour-de-pierre-%c3%a9quilibre-8195026/


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